Boris 3/0 | Fidèle à son habitude, Boris ouvre la rencontre face à Benoît Lion (3C). Durant ses études de biologie, Boris a apprit que le lion n'aimait pas les double-murs. Il a en donc abusé, ce qui lui a permit de dompter son adversaire dans les deux premiers jeux. Dans le troisième, Benoît a sorti ses griffes et s'est battu comme un... lion. Boris, qui en ce moment a un tigre dans son moteur, résiste pied à pied. Nous voilà à 10/10. Et ça repart de plus belle, des balles de jeu sauvées succèdent aux balles de matchs sauvées. 12/12. 14/14. 16/16. 18/18. 20/20. Face à ce Big Ben, notre British sonne enfin la fin de la partie : 22/20.
Beau match et, au passage, un trophée Armand Jammot (voir article ci-dessous) empoché et porté à un niveau qui sera désormais difficile à dépasser !
Mike 0/3 | Mike enchaîne face à Franck Clerico (4A). Là, nous avons deux options pour narrer la suite. Celle de Jeff, où il compare Franck à Robert Redfort [NDLR : Robert Redford jeune], l'homme qui murmurait à l'oreille de la balle de squash, et qui a susuré à celle-ci de rester bien collée aux murs. Et ça n'a pas raté, toujours précis, une balle bien posée sans être supersonique, Franck a dépassé Mike techniquement. L'autre option, c'est de narrer la fin en prenant le point de vue des anti-Clerico, en disant que ça n'avait pas été la curée, mais que Mike, qui n'est plus un enfant de choeur, avait confessé un manque de physique, que quelque chose avait cloché et que cette partie avait été un vrai chemin de croix. Mené 0/2, le troisième jeu s'engage mal. Tous les fidèles de Mike s'en rendent compte, la messe était dite !
Jeff 3/2 | Jeff attaque ensuite contre Jean-François Roze (3B), un excellent joueur, technique et précis. Là, ça devient compliqué car le p'tit nom de Jean-François, c'est Jeff aussi. Donc au terme d'un jeu très disputé, Jeff emporte le premier jeu. Le deuxième est aussi très disputé et Jeff parvient à égaliser. Le troisième jeu est toujours aussi serré mais tourne à l'avantage de Jeff (l'autre). Le quatrième jeu tourne à l'avantage de Jeff dont les boasts qu'il distille depuis le début de la partie commencent à faire de l'effet. Dans le cinquième, Jeff (le nôtre) reste très solide alors que Jeff (le leur) semble émoussé et fait des fautes sous la pression. Belle victoire de Jeff qui commence à voir la vie en Roze !
Cristophe 0/3 | Christophe est opposé à Marc Boisson (4B), un ancien du Stade Français. Le match s'engage bien et Christophe va jusqu'à mener 8-6, mais 5 fautes successives offriront le gain du jeu à Marc. Petite anecdote au passage : c'est Jeff (le nôtre) qui arbitre le match et Christophe, malgré l'enjeu, est assez cool pour interrompre régulièrement la partie et demander à Jeff à travers la vitre : "Monsieur et Madame LET ont un fils, comment l'appellent-ils ?" et Jeff de répondre invariablement : "Justin, Justin LET !". Et soudain, c'est fini : 0/3. Peut-on parler de piquette contre Boisson ? Non, mais ce qui est sûr, c'est que les efforts de Christophe seront restés vin. Enfin ! Direction le bar car comme c'est Marc qui marque, c'est Boisson qui paie la... bière.
Jalel 1/3 | Pour son grand retour, notre Jalel commence par un match décisif. Dur ! Et son adversaire, Pascal Ferry (3B), est un rude client ! Dur, dur ! Mais Jalel fait parler sa science du double-mur millimitré et ses grands bras pour aller tout chercher et empoche le gain du premier jeu. Malheureusement, il a largement puisé dans ses réserves. En fait, il est carbonisé et sa défense va s'en ressentir. Parallèlement, Pascal s'est adapté aux double-murs toumisiens et pilonne le coup droit de notre ambidextre. Et physiquement, il a encore du jus le Ferry* alors que Jalel, bien qu'il ne s'appelle pas Adam, rame. Bref, défaite logique 1/3.
*1832-1893
Troisième défaite de suite pour le Baribal ! On serait au PSG, le sélectionneur serait viré. Mais au SCALP, pas de conflits de connards, uniquement du confit de canard ! Direction le Baribal !
Beau match et, au passage, un trophée Armand Jammot (voir article ci-dessous) empoché et porté à un niveau qui sera désormais difficile à dépasser !
Mike 0/3 | Mike enchaîne face à Franck Clerico (4A). Là, nous avons deux options pour narrer la suite. Celle de Jeff, où il compare Franck à Robert Redfort [NDLR : Robert Redford jeune], l'homme qui murmurait à l'oreille de la balle de squash, et qui a susuré à celle-ci de rester bien collée aux murs. Et ça n'a pas raté, toujours précis, une balle bien posée sans être supersonique, Franck a dépassé Mike techniquement. L'autre option, c'est de narrer la fin en prenant le point de vue des anti-Clerico, en disant que ça n'avait pas été la curée, mais que Mike, qui n'est plus un enfant de choeur, avait confessé un manque de physique, que quelque chose avait cloché et que cette partie avait été un vrai chemin de croix. Mené 0/2, le troisième jeu s'engage mal. Tous les fidèles de Mike s'en rendent compte, la messe était dite !
Jeff 3/2 | Jeff attaque ensuite contre Jean-François Roze (3B), un excellent joueur, technique et précis. Là, ça devient compliqué car le p'tit nom de Jean-François, c'est Jeff aussi. Donc au terme d'un jeu très disputé, Jeff emporte le premier jeu. Le deuxième est aussi très disputé et Jeff parvient à égaliser. Le troisième jeu est toujours aussi serré mais tourne à l'avantage de Jeff (l'autre). Le quatrième jeu tourne à l'avantage de Jeff dont les boasts qu'il distille depuis le début de la partie commencent à faire de l'effet. Dans le cinquième, Jeff (le nôtre) reste très solide alors que Jeff (le leur) semble émoussé et fait des fautes sous la pression. Belle victoire de Jeff qui commence à voir la vie en Roze !
Cristophe 0/3 | Christophe est opposé à Marc Boisson (4B), un ancien du Stade Français. Le match s'engage bien et Christophe va jusqu'à mener 8-6, mais 5 fautes successives offriront le gain du jeu à Marc. Petite anecdote au passage : c'est Jeff (le nôtre) qui arbitre le match et Christophe, malgré l'enjeu, est assez cool pour interrompre régulièrement la partie et demander à Jeff à travers la vitre : "Monsieur et Madame LET ont un fils, comment l'appellent-ils ?" et Jeff de répondre invariablement : "Justin, Justin LET !". Et soudain, c'est fini : 0/3. Peut-on parler de piquette contre Boisson ? Non, mais ce qui est sûr, c'est que les efforts de Christophe seront restés vin. Enfin ! Direction le bar car comme c'est Marc qui marque, c'est Boisson qui paie la... bière.
Jalel 1/3 | Pour son grand retour, notre Jalel commence par un match décisif. Dur ! Et son adversaire, Pascal Ferry (3B), est un rude client ! Dur, dur ! Mais Jalel fait parler sa science du double-mur millimitré et ses grands bras pour aller tout chercher et empoche le gain du premier jeu. Malheureusement, il a largement puisé dans ses réserves. En fait, il est carbonisé et sa défense va s'en ressentir. Parallèlement, Pascal s'est adapté aux double-murs toumisiens et pilonne le coup droit de notre ambidextre. Et physiquement, il a encore du jus le Ferry* alors que Jalel, bien qu'il ne s'appelle pas Adam, rame. Bref, défaite logique 1/3.
*1832-1893
Troisième défaite de suite pour le Baribal ! On serait au PSG, le sélectionneur serait viré. Mais au SCALP, pas de conflits de connards, uniquement du confit de canard ! Direction le Baribal !
1 commentaire:
Christophe, ou l'art de donner le baton pour se faire battre : Et dans ce càs, la question devient : Comment gagner un match en accordant la faveur à son adversaire de lui donner 6 points directs d'affilée, PAR JEU qui plus est ??!!!
That is ze question, qu'on a pas trouvé la réponse.
Et maintenant, c'est parti pour 6 victoires d'affilée ! de l'équipe, et la 1ère de notre Totof à nous qu'on a avant qu'il ne pète 40 plombes au compteur et question qu'on picole à l'oeil toute la soirée.
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